J’ai un peu plus de soixante ans et on me dit que je ne vieillis pas. Je le crois, car il me semble que je suis toujours jeune, alerte, joyeuse, comme autrefois. Point d’inquiétude; qu’on dise ce que l’on voudra de moi, rien ne me dérange; Dieu seul et toujours Dieu seul. (12 novembre 1908) Je jubile et je ne puis que m’écrier : merci, merci, mon Dieu, merci je pourrai… Lire la suite »

Comment dans notre étonnement ne pas nous écrier dans l’extase d’amour : un Dieu dans mon cœur, dans mon pauvre cœur! Quand donc arriverons-nous, au terme de la vie, pour le posséder tout entier, sans voile et dans nuage. Je brûle du désir de me réunir à mon bien-aimé Jésus. Les choses de la terre ne me paraissent rien et ne me donnent que du dégoût. Lettre du 6 janvier 1913… Lire la suite »

Ce qui est premier pour Mère Saint-Bernard (Virginie Fournier) c’est de faire la volonté de Dieu. Je suis chez les vieux, c’est là mon coin de sanctification, le bon Dieu fera de moi ce qu’il voudra.  (1907) Je suis à la cuisine, je suis certaine d’être là où le bon Dieu me veut. (1911) Que fait à l’âme qui aime véritablement son Dieu, et qui veut se donner à lui… Lire la suite »

Oh! Si tu savais combien je me sens heureuse de pouvoir me dépenser pour les membres souffrants de mon Divin Époux. Non, rien ne me coûte, je voudrais faire encore davantage, pour pouvoir témoigner ma reconnaissance à Celui qui m’a choisie, moi, pour être à Lui. (Lettre du 22 février 1903) Je voudrais avoir six mains au lieu de deux; et comme elles seraient bien employées à toutes sortes d’ouvrages…. Lire la suite »