Je remets tout entre vos mains
« Que deviendra votre œuvre, ô mon Dieu, si vous la laissez entre mes mains ? Je ne puis que tout compromettre. Je remets tout entre vos mains; que votre sainte volonté soit faite et non la mienne ! Je veux souffrir; accordez-moi la patience et une parfaite soumission dans tout ce que vous voudrez de moi. » Journal du père Brousseau, tome II p. 199-200 – 29 juin 1900