Que faire ?
« Il me faut défaire mon chemin et je suis épuisé. Que faire? Je prends mon chapelet et, tout en marchant, je le récite avec beaucoup de satisfaction. […] Mon rosaire est terminé, j’étais en face de l’église; le temps m’avait paru bien court, les fatigues avaient été oubliées. » Journal du père Brousseau, tome 1 p. 68 2 octobre 1899