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De l’orphelinat aux pavillons des jeunes

17_Colline Notre-Dame et le complexe des pavillons
Colline Notre-Dame et le complexe des pavillons

 

18_Au pavillon des jeunes
Au pavillon des jeunes

 

Inspirées par le modèle familial de l’orphelinat de Rivière-Ouelle, l’idée des pavillons fait son chemin. Après s’être rendues aux États-Unis pour visiter des centres de style pavillonnaire pour enfants, l’économe générale et une compagne élaborent des plans pour Saint-Damien.

En 1957, un complexe de trois pavillons voit le jour sur la colline Notre-Dame. La construction vise à favoriser un environnement se rapprochant du milieu de vie familiale. Des jeunes filles de foyers en difficulté et des orphelines y sont accueillies dans un climat empreint de sécurité, de tendresse et où le potentiel de chacune est valorisé.

Avec les nouvelles politiques gouvernementales, la formule évolue et l’œuvre se spécialise pour recevoir des jeunes mésadaptés sociaux affectifs. Les sœurs mandatées aux pavillons se perfectionnent. Alors que certaines suivent des cours de « mères de groupe », d’autres font une formation en assistance sociale et en éducation spécialisée.

Au cours des années 1960, le complexe se dote de cinq pavillons supplémentaires. Les garçons de l’orphelinat Saint-Joseph emménagent dans deux d’entre eux. Le pavillon central accueille le personnel de bureau, les services divers et devient le lieu de résidence des religieuses.

L’histoire des soins et des services auprès des orphelins, des orphelines et des jeunes en difficulté se termine en 1980 suite aux nouvelles perspectives gouvernementales.

Noël à l’école du Sacré-Cœur, dans les années 1940-1950

Noël à l’école du Sacré-Cœur, dans les années 1940-1950